On connaissait le moulin à vent
voici la girouette!
http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/07/09/le-revirement-de-nicolas-sarkozy-sur-la-grece_4676839_823448.html#
Le 2 juillet l'ancien futur président veut virer les grecs
Dans Le Monde daté du 2 juillet, défendait une ligne très dure, en décrétant de manière prématurée que le gouvernement grec avait « suspendu de fait, de lui-même, l’appartenance de la Grèce à la zone euro ». Appelant à « ne pas céder » face au premier ministre grec, Alexis Tsipras, « qui refuse toute attitude raisonnable », M. Sarkozy semblait se résoudre à un « Grexit ». Pour lui, la poursuite des négociations n’était pas une priorité : « Aujourd’hui, la question est davantage de savoir comment protéger la zone euro du désastre grec que de simplement protéger la Grèce. »
Le 8 juillet changement de direction
La position de Nicolas Sarkozy sur la crise grecque n’en finit plus d’évoluer. L’ancien chef de l’Etat a effectué un revirement complet sur ce dossier, en se disant favorable à la recherche d’un accord avec Athènes pour lui permettre de rester dans la zone euro, après s’être résolu à sa sortie de la monnaie unique.
« Tout doit être fait pour trouver un compromis » entre la Grèce et ses créanciers, a déclaré le président des Républicains (LR), mercredi 8 juillet, sur TF1, à condition que les termes de cet accord ne menacent pas la « crédibilité » des 18 autres pays de la zone euro. Une position contraire à celle qu’il exprime depuis une semaine.
10 juillet
http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2015/07/13/25002-20150713ARTFIG00048-grece-valls-accuse-sarkozy-d-avoir-affaibli-la-position-de-la-france.php
Nicolas Sarkozy, alors que les négociations s'enlisaient, a sommé François Hollande de «se ressaissir et reconstituer une unité avec la chancelière Merkel», fustigeant «le spectacle désolant des divisions franco-allemandes».
La France a là un grand homme d'Etats
voici la girouette!
http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/07/09/le-revirement-de-nicolas-sarkozy-sur-la-grece_4676839_823448.html#
Le 2 juillet l'ancien futur président veut virer les grecs
Dans Le Monde daté du 2 juillet, défendait une ligne très dure, en décrétant de manière prématurée que le gouvernement grec avait « suspendu de fait, de lui-même, l’appartenance de la Grèce à la zone euro ». Appelant à « ne pas céder » face au premier ministre grec, Alexis Tsipras, « qui refuse toute attitude raisonnable », M. Sarkozy semblait se résoudre à un « Grexit ». Pour lui, la poursuite des négociations n’était pas une priorité : « Aujourd’hui, la question est davantage de savoir comment protéger la zone euro du désastre grec que de simplement protéger la Grèce. »
Le 8 juillet changement de direction
La position de Nicolas Sarkozy sur la crise grecque n’en finit plus d’évoluer. L’ancien chef de l’Etat a effectué un revirement complet sur ce dossier, en se disant favorable à la recherche d’un accord avec Athènes pour lui permettre de rester dans la zone euro, après s’être résolu à sa sortie de la monnaie unique.
« Tout doit être fait pour trouver un compromis » entre la Grèce et ses créanciers, a déclaré le président des Républicains (LR), mercredi 8 juillet, sur TF1, à condition que les termes de cet accord ne menacent pas la « crédibilité » des 18 autres pays de la zone euro. Une position contraire à celle qu’il exprime depuis une semaine.
10 juillet
http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2015/07/13/25002-20150713ARTFIG00048-grece-valls-accuse-sarkozy-d-avoir-affaibli-la-position-de-la-france.php
Nicolas Sarkozy, alors que les négociations s'enlisaient, a sommé François Hollande de «se ressaissir et reconstituer une unité avec la chancelière Merkel», fustigeant «le spectacle désolant des divisions franco-allemandes».
La France a là un grand homme d'Etats
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