9 Français sur 10 sont pour la déchéance!
et 2/3 des Français pensent que ce n'est pas incompatible avec les valeurs de gauche!
http://www.francetvinfo.fr/politique/debat-sur-la-decheance-de-nationalite/pres-de-9-francais-sur-10-favorables-a-la-decheance-de-nationalite-selon-un-sondage_1244234.html
Bigre!
Sur ces 2/3 une bonne moitié est de droite et se prononce donc à la place des autres!
Je le trouve un peu mou du genou, le françois!
Pourquoi ne pas rétablir la peine de mort pour les terroristes assassins?
Peut être que 2/3 des françois pensent que ce n'est pas incompatible avec les valeurs de gauche?
Priver de sa nationalité quelqu'un qui la déteste
est le plus grand plaisir qu'on puisse lui faire!
La déchéance sera délivrée à titre posthume pour les commandos suicides?
Ce sera une sorte de canonisation!
Non seulement , ce n'est pas dissuasif, mais c'est contre productif!
1. On renverra hors du territoire un individu dangereux
et on confiera à un pays pas forcément ami, le soin de le surveiller!
2. On donne un argument de choix aux recruteurs du djihad:
"vous voyez que vous êtes des françois de seconde zone"
De plus la déchéance nationale existe:
Le mentor de Chérif Kouachi et Coulibaly,
Djamel Beghal qui purge actuellement une peine de 10 ans,
a été déchu de la nationalité en 2006.
Mais nos élites bavardes veulent en rajouter dans le bagout ambiant;
Ils veulent graver la déchéance dans le marbre de la Constitution,
créant par là-même deux sortes de Français:
les bi-nationaux qui "risquent" la déchéance
et les uni-nationaux qui ne risquent pas la déchéance.
François ne voit que les sondages et ne vit que d'échéance
il a rallié les plus bêtes du monde,
car il espère bien être le premier d'entre-eux!
Mais au premier tour il lui faudra rallier son camp!
ça sera dur!
Le veau est déchu!
http://www.lepoint.fr/politique/emmanuel-berretta/djihadisme-pourquoi-hollande-a-ecarte-l-indignite-nationale-23-12-2015-2004858_1897.php
Le président de la commission des Lois est cependant sceptique. En effet, la dégradation des droits liés à la citoyenneté existe déjà dans notre Code pénal à travers les articles 131-26 (privation des droits civils, civiques et familiaux), 131-28 (interdictions professionnelles ou sociales diverses) et 131-16 (assignation à résidence, remise du passeport, mention des condamnations, confiscation du patrimoine...). Si bien que la création d'une « indignité nationale » pour fait de terrorisme reviendrait à regrouper, sous cette appellation, les sanctions qui existent déjà. Avec une limite nouvelle par rapport à la Libération : la Convention européenne des droits de l'homme impose que la dégradation civique ne peut être que temporaire et non à vie. Autrement dit, la « mort civique » appelle la « résurrection ».
Enfin, Jean-Jacques Urvoas se méfie de la martyrologie qu'une telle sanction susciterait, à rebours de l'effet recherché. L'indignité nationale pourrait alors devenir le signe de ralliement des djihadistes français, comme une reconnaissance glorieuse de leur « lutte politique ». Au fond, les djihadistes français se soucient tellement peu d'être d'honnêtes citoyens que le risque de leur dégradation civique n'aurait aucune prise sur leur motivation, d'autant plus que les kamikazes de l'organisation dite « État islamique » agissent sous une emprise mentale sectaire.
Jean-Jacques Urvoas en vient à effectuer un parallèle entre le terrorisme anarchiste qui a affecté les débuts de la IIIe République, entre 1880 et 1910, et le terrorisme djihadiste actuel. Il constate que la IIIe République n'a pas opté pour l'indignité nationale à l'encontre des anarchistes. « Les dirigeants de la IIIe République ont délibérément fait le choix de traiter les anarchistes, non pas hors de la République ou de la Nation, mais hors du débat politique », écrit-il. En somme, comme des voyous de droit commun auteurs d'une « association de malfaiteurs ». C'est en partant de ce précédent historique que Jean-Jacques Urvoas conseille au gouvernement de traiter les djihadistes pareillement. Comme si les qualifier d'indignes nationaux était déjà leur faire trop d'honneur
et 2/3 des Français pensent que ce n'est pas incompatible avec les valeurs de gauche!
http://www.francetvinfo.fr/politique/debat-sur-la-decheance-de-nationalite/pres-de-9-francais-sur-10-favorables-a-la-decheance-de-nationalite-selon-un-sondage_1244234.html
Bigre!
Sur ces 2/3 une bonne moitié est de droite et se prononce donc à la place des autres!
Je le trouve un peu mou du genou, le françois!
Pourquoi ne pas rétablir la peine de mort pour les terroristes assassins?
Peut être que 2/3 des françois pensent que ce n'est pas incompatible avec les valeurs de gauche?
Priver de sa nationalité quelqu'un qui la déteste
est le plus grand plaisir qu'on puisse lui faire!
La déchéance sera délivrée à titre posthume pour les commandos suicides?
Ce sera une sorte de canonisation!
Non seulement , ce n'est pas dissuasif, mais c'est contre productif!
1. On renverra hors du territoire un individu dangereux
et on confiera à un pays pas forcément ami, le soin de le surveiller!
2. On donne un argument de choix aux recruteurs du djihad:
"vous voyez que vous êtes des françois de seconde zone"
De plus la déchéance nationale existe:
Le mentor de Chérif Kouachi et Coulibaly,
Djamel Beghal qui purge actuellement une peine de 10 ans,
a été déchu de la nationalité en 2006.
Mais nos élites bavardes veulent en rajouter dans le bagout ambiant;
Ils veulent graver la déchéance dans le marbre de la Constitution,
créant par là-même deux sortes de Français:
les bi-nationaux qui "risquent" la déchéance
et les uni-nationaux qui ne risquent pas la déchéance.
François ne voit que les sondages et ne vit que d'échéance
il a rallié les plus bêtes du monde,
car il espère bien être le premier d'entre-eux!
Mais au premier tour il lui faudra rallier son camp!
ça sera dur!
Le veau est déchu!
http://www.lepoint.fr/politique/emmanuel-berretta/djihadisme-pourquoi-hollande-a-ecarte-l-indignite-nationale-23-12-2015-2004858_1897.php
Le président de la commission des Lois est cependant sceptique. En effet, la dégradation des droits liés à la citoyenneté existe déjà dans notre Code pénal à travers les articles 131-26 (privation des droits civils, civiques et familiaux), 131-28 (interdictions professionnelles ou sociales diverses) et 131-16 (assignation à résidence, remise du passeport, mention des condamnations, confiscation du patrimoine...). Si bien que la création d'une « indignité nationale » pour fait de terrorisme reviendrait à regrouper, sous cette appellation, les sanctions qui existent déjà. Avec une limite nouvelle par rapport à la Libération : la Convention européenne des droits de l'homme impose que la dégradation civique ne peut être que temporaire et non à vie. Autrement dit, la « mort civique » appelle la « résurrection ».
Enfin, Jean-Jacques Urvoas se méfie de la martyrologie qu'une telle sanction susciterait, à rebours de l'effet recherché. L'indignité nationale pourrait alors devenir le signe de ralliement des djihadistes français, comme une reconnaissance glorieuse de leur « lutte politique ». Au fond, les djihadistes français se soucient tellement peu d'être d'honnêtes citoyens que le risque de leur dégradation civique n'aurait aucune prise sur leur motivation, d'autant plus que les kamikazes de l'organisation dite « État islamique » agissent sous une emprise mentale sectaire.
Jean-Jacques Urvoas en vient à effectuer un parallèle entre le terrorisme anarchiste qui a affecté les débuts de la IIIe République, entre 1880 et 1910, et le terrorisme djihadiste actuel. Il constate que la IIIe République n'a pas opté pour l'indignité nationale à l'encontre des anarchistes. « Les dirigeants de la IIIe République ont délibérément fait le choix de traiter les anarchistes, non pas hors de la République ou de la Nation, mais hors du débat politique », écrit-il. En somme, comme des voyous de droit commun auteurs d'une « association de malfaiteurs ». C'est en partant de ce précédent historique que Jean-Jacques Urvoas conseille au gouvernement de traiter les djihadistes pareillement. Comme si les qualifier d'indignes nationaux était déjà leur faire trop d'honneur
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