Acte I: La marionnette-qui-dit-n'importe-quoi:
où l'on voit que le conseiller qui se fait payer très cher ses conseils est décidément très mal conseillé.
26 janvier : 'Je me retirerais si mon honneur était attteint, si j'étais mis en examen' (on n'avait pas bien entendu l' "s", on avait pris le conditionnel pour un futur)
"je n'ai qu'un compte en banque"
"mes enfants avocats"
27 février: "Climat de quasi guerre civile"
1er mars "la justice a empéché mes avocats de faire un recours" (Ce n'est que maintenant que les recours sont possibles)
"l'état de droit a été violé"
"je continue, je ne me rendrai pas!"
"un assassinat politique"
"un assassinat de l'élection présidentielle"
(et je m'y connais: c'est moi l'assassin!)
Tandis que Le Maire, Le Louche, La Garde l'abandonnent, ses fidèles porte flingues Pécresse, Longuet accusent l'Elysée d'être à la manoeuvre.
Acte II. Machiavel Gepetto:
D'abord il a communiqué les bandes de Cahuzac à Mediapart,
Puis sa gueunon des bonnes familles a créé le parquet financier qui sera chargé d'intervenir vite dans les affaires politico-financières,
puis il annonce qu'il se soumettra aux primaires
et met son fils préféré sur la rampe de lancement.
En loucedé, il demande à ses électeurs d'aller voter aux primaires de la droite pour enlever toute crédibilité à celui qui a reçu l'onction des sons d'âge et faire sortir l'austère catho Fillon des urnes.
Puis, prenant tout le monde à contre-pied, il se retire de la course
et fait éliminer le frère ennemi de son fils préféré aux primaires de gauche.
Le piège est en place!
Il ne lui reste plus qu'à communiquer au Canard Enchaîné
les pièces montrant que l'austère honnête aime le fric!
Pas de plan B, Sarkozy n'a pas digéré les gauches à la primaire de droite
Il s'oppose à Juppé.
La droite est condamnée à soutenir un président qui s'attaque aux institutions.
Vive l'anarchie!
Enfin, il organise un attentat contre lui pour montrer son courage sous le feu.
Il reste stoïque, huit secondes à attendre la deuxième balle en plein front!
Où étaient ses gardes du corps, chargés de se coucher sur lui?
Un coup monté vous-dis-je!
Bravo l'artiste!
où l'on voit que le conseiller qui se fait payer très cher ses conseils est décidément très mal conseillé.
26 janvier : 'Je me retirerais si mon honneur était attteint, si j'étais mis en examen' (on n'avait pas bien entendu l' "s", on avait pris le conditionnel pour un futur)
"je n'ai qu'un compte en banque"
"mes enfants avocats"
27 février: "Climat de quasi guerre civile"
1er mars "la justice a empéché mes avocats de faire un recours" (Ce n'est que maintenant que les recours sont possibles)
"l'état de droit a été violé"
"je continue, je ne me rendrai pas!"
"un assassinat politique"
"un assassinat de l'élection présidentielle"
(et je m'y connais: c'est moi l'assassin!)
Tandis que Le Maire, Le Louche, La Garde l'abandonnent, ses fidèles porte flingues Pécresse, Longuet accusent l'Elysée d'être à la manoeuvre.
Acte II. Machiavel Gepetto:
D'abord il a communiqué les bandes de Cahuzac à Mediapart,
Puis sa gueunon des bonnes familles a créé le parquet financier qui sera chargé d'intervenir vite dans les affaires politico-financières,
puis il annonce qu'il se soumettra aux primaires
et met son fils préféré sur la rampe de lancement.
En loucedé, il demande à ses électeurs d'aller voter aux primaires de la droite pour enlever toute crédibilité à celui qui a reçu l'onction des sons d'âge et faire sortir l'austère catho Fillon des urnes.
Puis, prenant tout le monde à contre-pied, il se retire de la course
et fait éliminer le frère ennemi de son fils préféré aux primaires de gauche.
Le piège est en place!
Il ne lui reste plus qu'à communiquer au Canard Enchaîné
les pièces montrant que l'austère honnête aime le fric!
Pas de plan B, Sarkozy n'a pas digéré les gauches à la primaire de droite
Il s'oppose à Juppé.
La droite est condamnée à soutenir un président qui s'attaque aux institutions.
Vive l'anarchie!
Enfin, il organise un attentat contre lui pour montrer son courage sous le feu.
Il reste stoïque, huit secondes à attendre la deuxième balle en plein front!
Où étaient ses gardes du corps, chargés de se coucher sur lui?
Un coup monté vous-dis-je!
Bravo l'artiste!
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