Le canard enchaîné nous apprend que Tony Estanguet canoétiste touche 450 000 euros par an pour s'occuper des jeux olymiques Paris 2024
http://www.courrier-picard.fr/62959/article/2017-10-11/le-canard-enchaine-epingle-les-salaires-de-paris-2024
Son adjoint champion de badminton touche 320 000. on a l'impression que les comités olympiques servent à combler la frustration des champions de sports pauvres qui cherchent à gagner des milliions comme leurs confrères champions de sports riches.
http://cnosf.franceolympique.com/cnosf/actus/7050-dsignation-du-bureau-excutif-du-cnosf.html
Moi, je joue du canoé
disait l'un
moi du badminton
disait l'autre
moi de l'aviron
moi de la luthe
moi arbitre de hand
moi de la moto...moi du foot féminin
et moi du roller
Et les uns les autres parlaient parlaient
parlaient de ce qu'ils jouaient
Personne ne bougeait
tout le monde parlait
parlait parlait
et à quel sport vous jouez monsieur
qui vous taisez et qui ne dites rien?"
lui demandèrent les membres du comité olympique?.
"Moi je joue de l'orgue de Barbarie
et je joue du couteau aussi"
dit l'homme qui jusqu'ici
n'avait absolument rien dit
et puis il s'avança le couteau à la main
et il tua tous les sportifs pauvres frustrés
et les riches aussi
et il joua de l'orgue de Barbarie
et sa musique était si vraie
si vivante et si jolie
que la petite fille du maître de la maison
sortit de dessous le piano
où elle était couchée endormie par ennui
et elle dit:
"Moi je jouais au cerceau
à la balle au chasseur
je jouais à la marelle
je jouais avec un seau
je jouais avec une pelle
je jouais au papa et à la maman
je jouais à chat perché
je jouais avec mes poupées
je jouais avec une ombrelle
je jouais avec mon petit frère
avec ma petite sœur
je jouais au gendarme
et au voleur
mais c'est fini fini fini
je veux jouer à l'assassin
je veux jouer de l'orgue de Barbarie."
Et l'homme prit la petite fille par la main
et ils s'en allèrent dans les villes
dans les maisons dams les jardins
et puis ils tuèrent le plus de monde possible
après quoi ils se marièrent
et ils eurent beaucoup d'enfants.
Moi, je joue du canoé
disait l'un
moi du badminton
disait l'autre
moi de l'aviron
moi de la luthe
moi arbitre de hand
moi de la moto...moi du foot féminin
et moi du roller
Et les uns les autres parlaient parlaient
parlaient de ce qu'ils jouaient
Personne ne bougeait
tout le monde parlait
parlait parlait
et à quel sport vous jouez monsieur
qui vous taisez et qui ne dites rien?"
lui demandèrent les membres du comité olympique?.
"Moi je joue de l'orgue de Barbarie
et je joue du couteau aussi"
dit l'homme qui jusqu'ici
n'avait absolument rien dit
et puis il s'avança le couteau à la main
et il tua tous les sportifs pauvres frustrés
et les riches aussi
et il joua de l'orgue de Barbarie
et sa musique était si vraie
si vivante et si jolie
que la petite fille du maître de la maison
sortit de dessous le piano
où elle était couchée endormie par ennui
et elle dit:
"Moi je jouais au cerceau
à la balle au chasseur
je jouais à la marelle
je jouais avec un seau
je jouais avec une pelle
je jouais au papa et à la maman
je jouais à chat perché
je jouais avec mes poupées
je jouais avec une ombrelle
je jouais avec mon petit frère
avec ma petite sœur
je jouais au gendarme
et au voleur
mais c'est fini fini fini
je veux jouer à l'assassin
je veux jouer de l'orgue de Barbarie."
Et l'homme prit la petite fille par la main
et ils s'en allèrent dans les villes
dans les maisons dams les jardins
et puis ils tuèrent le plus de monde possible
après quoi ils se marièrent
et ils eurent beaucoup d'enfants.
Mais
l'aîné apprit le badminton
l'aîné apprit le badminton
le second l'aviron
le troisième la luthe
le quatrième le foot
le cinquième le hand
et puis ils se mirent à parler parler
parler parler parler
plus personne ne joua
et tout fut à recommencer!
(Avec le concours de Jacques Prevert et de Robert Redeker)
le troisième la luthe
le quatrième le foot
le cinquième le hand
et puis ils se mirent à parler parler
parler parler parler
plus personne ne joua
et tout fut à recommencer!
(Avec le concours de Jacques Prevert et de Robert Redeker)
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