On retrouve les rares élus du parti à s’être plusieurs fois opposés à Trump quand il était à la Maison Blanche. Notamment Mitt Romney (Utah), seul sénateur républicain à avoir voté en faveur de la destitution de Trump lors de son premier procès, en 2020.
Les autres prennent soit leur retraite à la fin de leur mandat, en 2022 (Patrick Toomey, Pennsylvanie; Richard Burr, Caroline du Nord); soit viennent tout juste d’être réélus (Bill Cassidy, Louisiane; Susan Collins, Maine; Ben Sasse, Nebraska). Ils ne pourront donc se voir imposer par le parti républicain, en représailles de leur vote, un adversaire à combattre lors d’élections primaires qu’en 2026 au plus tôt. Lisa Murkowski (Alaska) est sans doute celle qui a pris le plus grand risque politique avec ce vote, puisqu’elle remet son siège en jeu aux prochaines élections de mi-mandat, en 2022.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire