"Une fois tous les otages libérés, Israël libérera
250 prisonniers condamnés à perpétuité ainsi que 1 700 Gazaouis
détenus après le 7-Octobre",
Le Hamas serait exclu de toute responsabilité
gouvernementale selon ce plan. D’après le Washington Post, le projet prévoit la
destruction de l’armement offensif du mouvement, des amnisties (pour la première fois) pour les
membres qui "s'engagent à une coexistence pacifique" et la
facilitation de leur passage vers d'autres pays pour ceux qui choisiraient
de partir.
transition composée de "Palestiniens qualifiés et
d'experts internationaux", placée sous supervision américaine.
Plusieurs médias britanniques avancent même le nom de l’ex-Premier
ministre Tony Blair comme possible
acteur d'une future autorité de transition à Gaza.
lle indique que les habitants de Gaza ne pourront être
déplacés de force, et que ceux qui choisiront de partir seront autorisés à
revenir. Un projet qui s'éloigne radicalement du fantasme du président
américain de transformer Gaza en "Riviera du Moyen-Orient" après
en avoir déplacé les habitants palestiniens,
Donald Trump avait pour la première fois pris position sur le sujet en
martelant : "Je ne permettrai pas à Israël d’annexer la Cisjordanie.
Non, je ne le permettrai pas. Cela n’arrivera pas. […] Cela suffit comme ça. Il
est temps d’arrêter maintenant."
D’après le Washington Post, les deux derniers points du plan
semblent destinés à rassurer les pays ayant reconnu l’État de Palestine, ainsi que les
gouvernements arabes qui exigent qu’aucun accord de paix ne puisse être conclu
sans mention explicite à un éventuel État.
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