Jusqu'à Chirac, les présidents de la république française ne parlaient pas des affaires intérieures à l'étranger. Depuis Sarkozy c'est passé dans l'usage. Mais ce jeune président, lui ne peut s'empécher de dire du mal de nous à l'étranger. C'est devenu une habitude. En Grèce en septembre 17, il nous avait traité de fainéants: " je ne cèderai rien ni aux cyniques ni aux fainéants". Quinze jours plus tard en Roumanie, il remet ça "les Français détestent les réformes". '
De passage au Danemark, il reprend le vocabulaire communautariste des cailleras pour nous traiter de "Gaulois réfractaires au changement".
https://www.parismatch.com/Actu/Politique/Quand-Macron-evoque-le-Gaulois-refractaire-1571034
Il prépare son job d'après. Il ne fera pas comme Pepe Mugica. Il n'a de cesse de donner des gages au grands capitalistes qui le rémunèreront grassement quand il ne sera plus président. Comme Schroeder chez Gazprom.
De passage au Danemark, il reprend le vocabulaire communautariste des cailleras pour nous traiter de "Gaulois réfractaires au changement".
https://www.parismatch.com/Actu/Politique/Quand-Macron-evoque-le-Gaulois-refractaire-1571034
Il prépare son job d'après. Il ne fera pas comme Pepe Mugica. Il n'a de cesse de donner des gages au grands capitalistes qui le rémunèreront grassement quand il ne sera plus président. Comme Schroeder chez Gazprom.
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