16 déc 21 Président Macron sur TF1
"J'ai acquis une chose, c'est qu'on ne fait rien bouger si l'on n'est pas pétri d'un respect infini pour chacun. Et je pense que dans certains de mes propos, j'ai blessé des gens",
Président Macron voeux du 31 décembre
"Restons unis, bienveillants, solidaires. Restons du côté de la vie. C’est là, ce que nous nous devons à nous-mêmes".
5 janvier 2022 - Le Parisien-
"L’immense faute morale des antivax : ils viennent saper ce qu’est la solidité d’une nation. Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen."
Chassez le naturel , il revient au galop. C'est d'autant plus choquant de tordre le sens des mots et l'esprit des lois de la part d'un président qui se veut philosophe et jupitérien.
De plus en terme de santé publique ses propos sont contre-productifs. S'il restait la possibilité de faire basculer 1 ou 2 millions de personnes vers le vaccin et se concentrant sur le fait que la vaccination diminue de moitié la contagion et diminue de 90% le risque d'amboliser les services de réanimation et le risque de déprogrammer des opérations déjà prévues. Et celà, il faut le répéter calmement, sans violence. Il instrumentalise les soignants et la santé publique pour préparer sa campagne. Il a très envie d'être candidat, dans candidat, il y a candide ce qu'il n'est pas. On n'est pas élu sur un bilan mais sur un projet et "il a très envie"de cliver, de jeter de l'huile sur le feu au risque d'enflammer la Soufrière. C'est délibéré. Le candidat clivant prend le pas sur le président de tous les Français.
De plus il place ses députés encore plus sous le feu des menaces:
"Des menaces de mort, des insultes, des intimidations, des permanences vandalisées... La violence va crescendo, en témoigne la menace de transformer l’Assemblée nationale en un “véritable bain de sang” proférée à l’encontre de Yaël Braun-Pivet, dans un courrier lu par cette dernière le 29 décembre."
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